Première
étape de ce samedi, avec un rendez-vous à l’aube, au soleil levant pour une
visite que nous pensions très prometteuse du musée du Louvre, en particulier
pour l’exposition « Soulages » annoncée à grand renfort de reportages
dans les média (mais bon, chez la trompette de Delahousse, il aurait fallu
relativiser à l’avance !).
Arrivés vers 8h20 dans les jardins du
carrousel du Louvre, l’occasion était belle d’une courte ballade pour quelques
photos.
Arrivé au musée, c’est déjà une autre
histoire. Signalétique et indications inexistantes (mais qu’on fait le Président Jean-Luc
Martinez, les spécialistes et autres commissaires), sauf juste à l’entrée de l’exposition. Enfin exposition,
deux petites salles, les œuvres présentées sans recherche de mise en valeur,
une lumière pitoyable où les couleurs (notamment de magnifiques reflets bleutés) et les nuances de noirs (tiens, un beau titre de livre à
écrire !) sont à peine visibles, sauf à tenter quelques contorsions et autres
déhanchés qui risquent à tout moment de déclencher les alarmes. Bref, pitoyable !
On se demande si quelqu’un a fait des études de muséologie (moderne) dans ce
lieu !
Quelques photo quand même, pour essayer de
retrouver l’ambiance de Rodez et du musée éponyme.
Une bien mauvaise façon de rendre hommage à
un grand artiste moderne encore vivant (par pudeur, je ne parlerai pas de la poussière visible sur les oeuvres ...).
Après ce premier épisode, déambulations dans
les nombreuses salles à la recherche, difficiles car la signalétique est
plus que défaillante, l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite
quasi-inexistante (on « tombe » toujours sur des escaliers à un
moment ou à un autre). Sans commentaire autre ...
Enfin, la salle des antiquités orientales, et
plus particulièrement les bas-reliefs de Darius 1er
dit le Grand (né vers 550 BC et mort en 486 BC) empereur de Perse
(dynastie des Achéménides). Et là, tout est émerveillement !
Pour
finir la visite,
Un
musée qui demanderait une reprise en main sérieuse pour le confort du visiteur,
en privilégiant plus le fond (signalétique, accès, …) que la forme (la
communication, le marketing, les médias …).
Bruno
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