29 novembre 2011

Il y a dix ans ...


... George Harrison nous quittait. Une immense reconnaissance pour nous avoir livré parmi quelques unes des plus belles chansons des Beatles et nous avoir fait connaître le sitar si envoutant de Ravi Shankhar.
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Hommage simple et discret, mais sincère !
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Bruno

26 novembre 2011

Un week-end chargé : épisode 2

Deuxième repas en deux jours ce soir, un peu plus élaboré que le précédent, pour cause de disponibilité plus conséquente en ce samedi.
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Forcément, plus de vins à déguster!
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Vin de France 2009, domaine du Joncier (en fait, un Lirac blanc qui n'a pas obtenu l'agrément du fait d'un taux de sucres résiduels trop élevé) : un premier nez très floral et frais, presque typé chenin (miel, fruits exotiques, chèvrefeuille). Après aération et montée en température, il se complexifie, développant des notes aromatiques, toujours miellées, et une douceur 'demi-sec'. En bouche, le vin est rond et frais, une très légère sucrosité et surtout une finale tendue, longue, veloutée, et sur de magnifiques amers nobles (présence de bourboulenc dans l'assemblage). Très Bien.
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Entrée : Joues de cabillaud juste snackées, carpaccio de St Jacques à l'huile de truffe
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Savennières Roche aux Moines 1994, domaine aux Moines : un nez sur le charbon, le minéral et légèrement miellé et confit. La bouche est droite, ample, très structurée, sur un équilibre minéral intense. La finale est très saline, salivante et vibrante. Très Bien (et très bel accord avec la chair des joues de cabillaud et des noix de St Jacques).
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Plat : Poulet fermier, accompagné d'un gratin dauphinois et d'une poêlé de cèpes
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Volnay, Premier Cru Clos des Chênes 1999, Michel Lafarge et fils : un nez un peu sur la retenue, mais révélant un joli fruit, une touche de minéralité terrienne, une pointe de rusticité noble. Bouche très cistercienne, sur une belle granulosité, élégante, des tannins présents mais déjà bien fondus. Sur un registre plutôt concentré de petits fruits rouges (cerise). C'est très racé et séveux, sans 'esbroufe', mais sérieusement vineux (dense). Un style traditionnel pour un vin de grande garde. Belle finale qui sait rester fraîche et droite. Très Bien.
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Châteauneuf du Pape, 2003, domaine Berthet-Rayne : changement de registre et de catégorie avec ce châteauneuf plutôt dense, compact, un peu 'compoté'. Le nez évoque les galets roulés chauds, la garrigue et le thym. malheureusement, la bouche m'a semblé linéaire et manquant un peu de profondeur, de volume et de complexité. Finale assez chaude et un peu assèchante. Une relative déception. Bien.
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Dessert : mille-feuilles croustillant aux agrumes et au chocolat
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VDN Maury, Mas Amiel 1990 : joli nez sur un rancio élégant et frais, des touches cacaotées et mentholées. Notes de fruits secs. La bouche est très puissante, bien équilibrée entre les sucres, l'acidité et des tannins complètement fondus. Finale vibrante, sur les noix, révélant une minéralité rafraichissante. Bien+++.
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Voilà, dès demain, c'est régime en attendant le Grand Tasting du week-end prochain.
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Bruno

25 novembre 2011

Un week-end chargé : épisode 1

Premier épisode d'un week-end chargé ce vendredi soir. Pour faire simple, et accompagner d'une part une salade de gésiers puis une pierrade, j'ai choisi un Morgon, côte du Py, cuvée réserve 2002 en magnum, du domaine Jean Marc Burgaud : un premier nez sur une évolution discrète, terre mouillée, mousse, humus et rose fanée. Avec une légère aération, ces notes disparaissent pour laisser place à des fragrances fruitées (kirsch, cassis) qui m'évoquent par certains côtés quelques crus nuitons, l'ensemble sur un registre très vineux et très profond où transparaissent des notes d'épices légères, de tabac et de réglissé. La bouche est raccord avec le nez. Elle morgonne et pinote en même temps. C'est un vin qui a du caractère (comme son géniteur), de la mâche, une granulosité salivante et un toucher de bouche soyeux. C'est très fin tout en étant profond, avec de jolis tannins fondus. Finale fraîche, sans l'acidité parfois 'mordante' du Gamay, sur un beau fruité intense et persistant (quelques touches d'agrumes), d'épices douces et de tabac. Vraiment excellent (merci Jean Marc ...). Un vin à son apogée qui peut - à l'instant t - faire la nique à pas mal de bourgognes (et pour 15 € le magnum).
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La suite demain ... mais dans d'autres régions !
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Bruno

23 novembre 2011

Soirée VIP au Salon des Vignerons Indépendants

Ce mercredi soir, j'étais pour la première fois convié à la soirée "VIP" du Salon des Vignerons Indépendants, soirée qui se déroule la veille de l'ouverture au grand public. Avantages : parking gratuit, disponibilité des vignerons et des cuvées ... et présence de Madame Bobosse pour m'aider à porter les 'rares' cartons accumulés en fin de soirée.
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Donc, sans prise de notes et tout de mémoire, quelques impressions, qui n'engagent que moi bien entendu.
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Jo Landron
Une relative déception sur le millésime 2010
Muscadet Clos de la Carizière 2010 très floral, vanillé et sapide au nez, une bouche plus en retrait, simple, bien faite mais manquant un peu de volume. Bien+
Muscadet Hermine d'Or 2010 plus réservé au nez, une bouche plus vineuse mais il manque un je-ne-sais quoi à ce vin. Bien
Muscadet Fief du Breil 2010 plus sérieux, quoique sur un équilibre de demi-corps. Toujours cette impression de 'légèreté' ou de 'sous-maturité ? Bien
Muscadet Haute Tradition 2009 assez nerveux, une belle vinosité et un caractère 'acide' assez marqué en finale. Bien+
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Domaine Delorme Père et Fils à Vergisson (71)
Confirmation du millésime 2008 et du climat 'Maréchaude'
Pouilly Fuissé, Clos Reyssier 2008 : beau chardonnay d'année tendue, frais, sur une amertume noble, assez rond et charmeur, très long en finale. Bien+++
Pouilly Fuissé, Clos Reyssier 2009 : une construction qui révèle plus le millésime que le cru, plutôt rond, un peu pataud, manquant clairement de peps. Bien
Pouilly Fuissé, Vieilles Vignes 2009 : même équilibre que le précédent, plus fermé à ce stade, plus vineux, plus ample, mais manquant un peu de tension. Bien+
Pouilly Fuissé, la Maréchaude 2007 : changement complet de registre avec ce magnifique chardonnay, tout en puissance et en mesure, fin, floral, tendrement mentholé, une finale extrêmement longue, vibrante. Très Bien
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Domaine aux Moines à Savennières (49) : Verticale du Savennières Roche aux Moines
Toujours un accueil convivial et des vins d'une belle définition, minéraux à souhait
2004 : magnifique Roche aux Moines caractéristique de son appellation, tendu, minéral, frais, corpulent et persistant. Grosse minéralité qui élève le vin. Excellent
2009 : serait-ce les quelques sucres résiduels, mais j'ai trouvé le vin un peu 'lourd' et manquant de définition. Plutôt atypique, sur les agrumes, presque typé Condrieu ! Bien
2003 : un vin bizarre (dixit Tessa), certainement pas en place. Un nez mentholé type menthos (?) et autre chose de difficilement caractérisable, une bouche à la fois ronde et raide, sèche et veloutée. A revoir
1994 : magnifique chenin carbonifère, pleinement tourbé (à l'instar des SGN de Philippe Delesvaux), droit, d'une puissance folle mais élégante. Finale vibrante, saline, corpulente ... qui appelle des noix de St Jacques à l'huile de truffe ou de beaux ris de veau ... Excellent
1992 : toujours une petite pointe au coeur avec ce millésime puisqu'il s'agit de l'année de naissance de l'héritier. Un vin d'un autre âge, plus sur une minéralité de schistes, qui débute doucement mais s'élargit en bouche, sans lourdeur, presque aérien malgré ses notes miellées. Excellent
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Domaine Sigaut à Chambolle (21)
Une très belle découverte pour moi. Semblerait que 2010 est aussi beau, mais sur un registre plus frais et plus fruité encore ...
Chambolle village "Aux Beaux Bruns" 2009 très croquant, charmeur, sur le fruit, de beaux tannins ronds, déjà presque polissés. Un bombe de fruits. Très Bien
Chambolle Premier Cru Charmes 2009 (en magnum) sur un registre très fruité (fruits noirs type cerise, fruits rouges très murs), des tannins solides, une belle construction d'ensemble. Très Bien
Chambolle Premier Cru les Sentiers 2009 qui possède une profondeur supplémentaire, un fruité retenu mais présent, de beaux tannins encore un peu anguleux et une fraîcheur de constitution. Plus corpulent que le précédent. Très Bien +
Morey Saint Denis Premier Cru les Millandes 2009 : épices douces, fruits noirs, tannins anguleux. Demande clairement du temps pour mieux s'exprimer. Bien+++
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Domaine du Joncier à Lirac (30)
Un domaine peu médiatisé, mais l'accueil et les vins de Madame Roussel méritent grandement le détour.
Lirac blanc 2010 : la forte proportion de Bourboulenc apporte à ce vin de la fraîcheur, une belle amertume et une tension qui complètent une première impression méridionale. Bien++
Vin de France 2009 : le même cru en 2009, mais avec quelques sucres résiduels, d'où l'appellation sans la mention d'AOC. Sucrosité mesurée, bien équilibrée avec la fraîcheur. Equilibre général frais. Finale vibrante. Très Bien (quoique atypique)
Lirac, le Gourmand 2009 : une bombe de fruits croquant, une belle maturité du raisin, une construction simple mais efficacement gourmande. Bien+++
Lirac, Classique 2008 : sur un registre de demi-corps, des tannins et une structure à affiner, belle salinité, séveux et vineux. Bien++
Lirac, Classique 2009 : même registre mais plus corpulent, plus abouti et plus épicé. Belle définition du vin. Bien+++
Lirac, Muses 2009 : le vin de la soirée. Magnifique nez complexe, entre notes méridionales et fraîcheur. Tannins veloutés, grande fraîcheur et finale vibrante, sur une amertume noble (forte proportion de mourvèdre). Excellent
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Château de Bois Brinçon à Blaison-Gohier (49)
De très beaux liquoreux qui savent rester frais et digestes
Anjou blanc sec, Terres de Grès 2009 : le caractère frais et tendu du chenin allié à l'expression du millésime 2009. Bien
Coteaux du Layon Faye, les Varennes 2010 : très belle dualité entre une attaque en bouche révélant une "grosse" liqueur et une finale tendue, minérale et diablement fraîche. Très Bien
Coteaux de l'Aubance, La Morinière 2010 : sur un registre plus agrumé (pamplemousse, abricots), une puissance maîtrisée et une belle finale douce et tendrement liquoreuse. Très Bien
Coteaux du Layon Faye, Clos des Savarières 2010 (ou 2009) ! : un vin plutôt charpenté, encore des notes d'agrumes, plus de puissance mais, j'ai trouvé, moins élégant que son petit frère 'les Varennes'. Bien+++
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Voilà, cette avant-première fût également l'occasion de revoir avec beaucoup de plaisir l'ami Jean-François et son épouse, que nous avons croisés plus régulièrement lors des soirées DC-Paris d'une autre époque.
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Bruno

19 novembre 2011

Le retour de Mélanie

En ce samedi soir, l'auberge (espagnole) des deux B a repris du service, à l'occasion du retour temporaire de Mélanie dans notre bonne vieille capitale, là où le Beaujolais nouveau coule à flot :).
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Pour diverses raisons, nous - collectivement - ne souhaitions pas un diner au restaurant. Nous avons donc avec plaisir proposé notre toit et notre table afin de nous retrouver tous ensemble autour d'un bon repas. Chacun apporte donc son plat et le(s) vin(s) pour accompagner.
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Ambiance des lieux, c'est toujours un plaisir de recevoir et de faire plaisir à des amis.
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A l'apéritif, un Champagne rosé José Michel très vineux, d'une belle fraîcheur, avec une jolie acidité en finale. Très belle mise en bouche.
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La Saint Jacques dans tous ses états (de bas en haut, de droite à gauche) : Carpaccio de St Jacques à l'huile de truffe noire, Tartare de Saint Jacques et d'ananas, Carpaccio de Saint Jacques à l'huile de truffe blanche.
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Servi à l'aveugle, ce vin m'évoque sur le premier nez un blanc de gros / petit Manseng comme le Jurançon ou Pacherenc sec (forte minéralité, arômes de miel et de confit, sans le rôti du Botrytis) puis, sur le second nez après aération, un vin allemand (menthol, pamplemousse, impression de demi-corps). Laissons le quelques instant dans le verre, puis mes premières impressions se précisent. L'impression de Sauternes se renforce dans le temps. En bouche, le vin est à la fois sec et rond, velouté, tendre mais corpulent. Belle minéralité et finale onctueuse, persistante et très fraîche. Très Beau. Il s'agit d'un Bordeaux supérieur, Y de Yquem 1979 !
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Avec un osso bucco, j'ai proposé deux vins diamétralement opposés (donc, pas à l'aveugle pour moi).
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Le Chinon, réserve Stanislas 2006 du domaine Pierre Sourdais se caractérise par une belle droiture, un joli fruit mur mais élégant, une touche de café et une structure bien équilibrée. Certes, une petite dissonance d'accord avec le plat, trop 'méridional', mais ce vin est assez représentatif de l'appellation. Bien ++.
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Changement complet de registre avec ce Gigondas, Font de Tonin 2006 du domaine de la Bouïssière (un grand merci à mon ami Lolo de Nîmes - tiens, ça sonne comme Lili des Belons : un coeur d'or derrière une carapace de dur. Ne change pas mon ami). Bref, un nez profond, séveux, vineux et suave, sur les fruits très murs (cerises noires), quelques notes de garrigue, des épices douces et une pointe d'élevage. La bouche présente une attaque franche et ronde, mais sans mollesse. Elle m'apparaît charpentée mais soyeuse, élégante à souhait, terriblement séduisante. Belle aromaticité sur une trame assez tannique déjà presque policée. La minéralité du cru apporte de la fraîcheur et de la tonicité à un vin très énergique. Finale suave, longue, vibrante. Excellent quoique très jeune.
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Suit un double plateau de fromages (un seul photographié).
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Un premier vin : Vin de pays des Bouches du Rhône, Grand Blanc du chateau Revelette 2007 : Si le nez mentholé et frais peut faire impression, la bouche ronde, veloutée mais un peu courte et manquant d'énergie ne me plaît pas outre mesure. Un peu raide. Pas mon style.
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Deuxième vin avec ce Corton-Charlemagne 1981 du domaine Rapet : Une fois encore, j'ai confondu réduction et oxydation. Pour un chimiste, c'est pas top ! Je m'explique. Un premier nez très amandes grillées, droit et minéral. Avec l'aération, cette sensation disparaît peu à peu (mais lentement dans le temps). On retrouve alors la marque des grands chardonnay, cette fraîcheur et ce côté miellé mais élégant et sans lourdeur. La bouche est puissante, droite, riche et racée. Très minéral et très droit. Magnifique persistance en finale, sur un registre suave et tendu à la fois. Excellent.
Un immense merci à l'ami François pour ce cadeau aussi somptueux qu'impromptu et spontané. C'est pour cela qu'on t'aime. Ne change surtout pas.
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En dessert, tarte aux poires et glace aux spéculoos.
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Pour accompagner cette gourmandise bâtie sur la fraîcheur, rien de tel qu'un Poiré Granit de Eric Bordelet : mariage très heureux avec la poire et la glace. Je ne suis pas suffisamment spécialiste pour analyser ce poiré mais ce fût une nouvelle fois un très bel accord, sur un registre de fraîcheur et de légèreté qui seyait bien à la fin de ce repas un peu "chargé". Très Bien.
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Pour finir, avec les surprises de Mélanie (de superbes financiers), un Madère  Barbeito 10 ans d'âge : que je n'ai pas particulièrement apprécié, hormis la finale très complexe. Un nez un peu raide et m'évoquant quelque vin jaune e bas étage (alcool à brûler, noix verte, rancio sans élégance - oui, je sais ...). La bouche m'a semblé également déséquilibrée ... sauf une très belle finale sur les pruneaux, le café, une belle torréfaction, des notes de noix mûres ... Bref, j'avoue ici mon incompétence et mon manque de repères sur ce type de vin.
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Nous avons été sages, même pas un petit digestif pour terminer cette belle soirée qui s'est prolongée tard dans la nuit.
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A quand la revanche ?
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Bruno

14 novembre 2011

Deux nuits avec Brad Pitt

Et oui, Mesdames, qui n'a pas rêvé de passer deux nuits avec Brad Pitt ? Et bien moi, je l'ai fait !!!
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Du calme, du calme, car ce Brad Pitt est un peu particulier puisqu'il s'agit du chien de la maison, les adorables chambres d'hôtes "au Presbytère" situé à Saigneville, entre Abbeville et Saint Valéry sur Somme.
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Je vous recommande très chaudement cette adresse, où l'on s'y sent comme chez soi, grâce à l'accueil et à la bienveillance de Corinne et Franck. Tout y est réuni pour passer un agréable séjour, le calme, la décoration faite de chines successives, la table - typiquement régionale mais excellente - la prévenance et l'humour que Corinne et Franck manient avec brio.
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L'espace d'un instant, nous avons oublié nos soucis quotidiens et nous gardons en mémoire ce magnifique lieu.
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Pour le souvenir, quelques photos ...
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dans la chambre
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la pièce réservée aux repas
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et un aperçu de l'ambiance ...
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Je vous recommande cet endroit, d'autant plus que la proche région nous réserve un paysage en constante évolution, depuis les falaises d'Ault jusqu'aux plages de sable fin de Quend-plage, connu aussi pour son festival du film grolandais.
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Bruno

12 novembre 2011

Escale en baie de Somme (2/2)

Deuxième journée en baie de Somme avec, cette fois-ci, cap vers le nord. En ce lendemain de commémoration du 11 novembre, direction incontournable vers Noyelles pour visiter le cimetière chinois de Nolette et rendre un hommage silencieux à ces anonymes venus de très loin et qui ont donné leur vie - au terme d'atroces souffrances - pour notre liberté.
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Visite ensuite de la ville de Rue qui, hormis le fait d'avoir été un port au Moyen Âge, possède une bien belle cathédrale de style gothique flamboyant des XV et XVI° siècles. La façade de la chapelle du Saint Esprit est une véritable dentelle de pierre.
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Ensuite, le clou de la journée, une très longue balade sur la plage de Quend-plage (ville connue pour son festival du cinéma grolandais).
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Ensuite, dernier crocher vers la station balnéaire (plus huppée) du Crotoy. Deuxième belle balade en front de baie de Somme, avec en prime le coucher du soleil enfin présent.
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Pour un coup d'essai, ce fût un coup de maître. Tout au diapason, depuis les paysages, les nombreuses possibilités de randonnées, les villages et la chambre d'hôtes.
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Nul doute que nos pas nous reconduiront un jour vers cette région.
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Bruno