Chablis, premier cru
Forest 2008, Vincent Dauvissat : derrière une robe diaphane,
se cache … peu de choses ! Un vin passé. Nez mutique, quelques notes d’encaustique
… et c’est tout. Bouche sans âme, sans aromatique et surtout une finale
astringente, sur une amertume type « caoutchouc brulé ». Lamentable
Lirac, Le Blanc 2016,
domaine du Joncier : robe jaune dorée
intense, presque orangée. Symptôme ... vite confirmé d’un vin oxydé !
Nuits Saint Georges, premier
cru les Chaignots 2011, domaine Robert Chevillon : robe rubis carmin sombre mais plutôt peu intense
(dans le sens peu concentrée). Nez complexe, à la fois rustique et suave. Notes
de fruits noirs, de réglisse et d’épices. Bouche plutôt ronde, tannins doux et
aimables, fruit confit sans être confituré, acidité liée au millésime bien équilibrée
par la structure. Grande épice morésienne, force terrienne nuitonne et suavité vosnienne.
Une belle complexité. Finale à l’avenant, sur des notes tendrement glycérinées.
Très Bien +
On attend avec impatience l’épisode VI …
Bruno
1 commentaire:
C'est vraiment dommage pour le lirac de Marine. D'autant qu'il etait beau a la degustation lors de ton achat.
Par contre pour le Dauvissat, je m'etonne que tu t'etonnes. Ca n'est ni le premiere fois ni, helas, la derniere, que l'on soit decu avec ce producteur porte aux nues par certains.
Bises.
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