Dernier round d'une année très riche en anniversaires, pour la bonne cause puisqu'il fallait célébrer comme il se doit un "compte rond".
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Nous voilà donc ce samedi soir en terres lusitaniennes pour un repas et une dégustation toujours attendus avec impatience, tant l'amitié et le partage sont en rendez-vous.
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Au menu :
- Foie gras maison et sa salade de pignon
- Cuisse de lapin et sa garniture
- Plateau de fromages
- Coulis de fruits rouges au miel et sa glace vanillée.
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Tous les vins ont été dégustés à l'aveugle, sans prise de notes.
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Nous voilà donc ce samedi soir en terres lusitaniennes pour un repas et une dégustation toujours attendus avec impatience, tant l'amitié et le partage sont en rendez-vous.
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Au menu :
- Foie gras maison et sa salade de pignon
- Cuisse de lapin et sa garniture
- Plateau de fromages
- Coulis de fruits rouges au miel et sa glace vanillée.
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Tous les vins ont été dégustés à l'aveugle, sans prise de notes.
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Coteau du Layon, domaine Leduc-Frouin, 1960 : un nez typique d'un vieux chenin, légèrement réglissé, sur les fruits secs et une floralité encore bien présente. La bouche est sur un équilibre demi-sec, une forte minéralité, un beau moelleux et une acidité discrètement présente. Belle finale fraîche, réglissée et douce. En final, je l'ai trouvé un peu plus "tendu" que dégusté en début d'année, avec une impression de fraîcheur et de jeunesse supplémentaire. Excellent (voir ICI).
Corton-Charlemagne Grand Cru 1983, domaine Rapet Père et fils : un nez très évolué, presque sur l'oxydatif. La bouche confirme ma première impression avec une forte raideur, une pointe d'oxydation et une trame décharnée. Après aération et remontée en température, le vin se reprend un peu, et dévoile une charpente assez imposante mais malheureusement toujours gâchée par cette attaque en bouche rédhibitoire. Un problème de bouteille ou de conservation ?
Corton-Perrières Grand Cru, 1964, domaine Rapet Père et fils : un nez assez discrêt mais qui sait se révéler après aération. Ca pinote grave, sur un équilibre évoquant la réglisse et les épices. En bouche, c'est un monstre de soyeux, un toucher de bouche à la fois délicat et charpenté, des tannins complètement fondus et une finale magnifiquement veloutée, avec un grain en bouche très agréable, et qui m'a évoquer un grand Côte de Nuits à point. Très Bien +++.
Châteauneuf du Pape, Les Cailloux 1967, Lucien Brunel : un problème manifeste de bouteille puisque le vin est madérisé.
Que cela ne tienne, cette bouteille va être rapidement remplacée par un autre Châteauneuf, domaine de Mont-Redon 1985 : un nez puissant et riche, sur les fruits à l'alcool mais sans lourdeur, une belle pointe résinée, des notes minérales de "cailloux chauffés" et de pierre à fusil. En bouche, le ravissement se poursuit. Puissante maîtrisée, fruits noirs, épices et notes de garrigue et d'olive. Sur un équilibre presque "bourguignon", les tannins abondants mais fondus et la fraîcheur en finale sont d'une très longue persistance. Excellent.
Porto Vintage, Ferreira 1960 : Un nez un peu trop alcooleux, où l'on décèle toutefois des notes de cerises / kirsch. La bouche est complètement fondue, de demi-corps, toujours très fruitée (fruits rouges). Finale relativement courte. Bien +.
Corton-Charlemagne Grand Cru 1983, domaine Rapet Père et fils : un nez très évolué, presque sur l'oxydatif. La bouche confirme ma première impression avec une forte raideur, une pointe d'oxydation et une trame décharnée. Après aération et remontée en température, le vin se reprend un peu, et dévoile une charpente assez imposante mais malheureusement toujours gâchée par cette attaque en bouche rédhibitoire. Un problème de bouteille ou de conservation ?
Corton-Perrières Grand Cru, 1964, domaine Rapet Père et fils : un nez assez discrêt mais qui sait se révéler après aération. Ca pinote grave, sur un équilibre évoquant la réglisse et les épices. En bouche, c'est un monstre de soyeux, un toucher de bouche à la fois délicat et charpenté, des tannins complètement fondus et une finale magnifiquement veloutée, avec un grain en bouche très agréable, et qui m'a évoquer un grand Côte de Nuits à point. Très Bien +++.
Châteauneuf du Pape, Les Cailloux 1967, Lucien Brunel : un problème manifeste de bouteille puisque le vin est madérisé.
Que cela ne tienne, cette bouteille va être rapidement remplacée par un autre Châteauneuf, domaine de Mont-Redon 1985 : un nez puissant et riche, sur les fruits à l'alcool mais sans lourdeur, une belle pointe résinée, des notes minérales de "cailloux chauffés" et de pierre à fusil. En bouche, le ravissement se poursuit. Puissante maîtrisée, fruits noirs, épices et notes de garrigue et d'olive. Sur un équilibre presque "bourguignon", les tannins abondants mais fondus et la fraîcheur en finale sont d'une très longue persistance. Excellent.
Porto Vintage, Ferreira 1960 : Un nez un peu trop alcooleux, où l'on décèle toutefois des notes de cerises / kirsch. La bouche est complètement fondue, de demi-corps, toujours très fruitée (fruits rouges). Finale relativement courte. Bien +.
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Les quelques bouteilles.
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Je confirme également que, comme son beau-frère, notre hôte d'un soir a tendance "à toucher" lorsqu'il a trop bu !!!
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No comment ...
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Bruno
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