7 novembre 2015

Week-end grand (demi) siècle

Par l'odeur alléchée, nous voici donc arrivés en ce samedi matin aux confins de la Seine et Marne et de l'Yonne, c'est à dire à peu près au milieu de nulle part pour fêter comme il se doit notre nouveau quinquagénaire, l'ami François.

Comme à son à leur habitude, nos hôtes ont redoublé d'effort pour nous permettre un accueil digne d'un trois étoiles, mais avec un supplément d'amitié, de partage et de franche rigolade (tard dans la nuit).

L'objectif : partager de bons moments, de bons mets et "quelques" bouteilles (comme le montrent les photos ci-dessus) entre amis.

Plantons le décor en images : un corps de ferme en "U", des espaces communs et privatifs, des chambres au premier étage (pas de route après avoir bu, hein !), de tout dans une réfection qui donne un véritable "cachet" aux lieux, sans compter que le soleil et la chaleur furent également au RDV.

La preuve !

Alors, je vous ferai grâce d'une description des vins, il y en eu pléthore ... parmi lesquels j'ai particulièrement appréciés : le Château Grillet 2004, le Pommard PC Rugiens 1999 du domaine de Montille, le Meursault Perrières 1992 de Michel Bouzereau, ...

Quelques étiquettes prises à la volée (inventaire non exhaustif puisque les "bulles" et "susucres" n'y apparaissent pas).

Un p'tit jeune qui a fait sa gamme ...

Enfin, je ne résiste pas au plaisir de vous présenter l'impétrant d'un soir, d'abord décontracté, puis sérieux en début de repas, un peu plus relâché avec le temps et enfin (très) bien entouré vers 3 heures du mat'.

Pour le fun, un spot du brunch et un selfie le jour d'après, au cours d'une séance d'autographe improvisée sur le menu du soir ...

Merci de ton amitié mon François, vivement le WE prochain en Loire !!!

Bruno

5 commentaires:

François a dit…

Puis-je te paraphraser, cher ami ?
Merci de ton amitié mon Bruno.

Bruno Bosselin a dit…

Une bille de clown c'est bien, mais deux, c'est mieux !!

François a dit…

Dixit Ingrid et Natacha ?

Bruno Bosselin a dit…

Qui sont ces personnes ?

François a dit…

Les grandes douleurs sont muettes...